Messages : 21 Date d'inscription : 25/04/2009 Age : 31
Reiana Déserteur
| Sujet: Reiana, Servante du Soleil rouge. Sam 22 Aoû - 19:47 | |
| Bonjour...
Il était surement temps pour moi de déposer enfin mon parchemin d'identité en ce lieu.
Le voici donc, pour les curieux qui passerons le voir :
Nom: Reiana LivalysAge: Bientôt 21ans. La date exacte de mon anniversaire m'est inconnue...Classe: Allégeance au dieu IOP !La couleur de mes cheveux: RouxCelle de mes yeux: Verts...État civil: Mariée à mon Archynounet ! Enfin...HUM...ArchangeAragorn.Cercle: 91, en augmentation.Si c'est ce que vous êtes venus chercher, je vous conterais volontiers mon histoire... La voici donc...
Née dans un petit village des landes de Sidimote,j'ai, moi, Reiana Livalys, iopette de 16ans, perdu tout ce que j'avais dans un raid de bandit. Tout mon village fut détruit, ma mère et ma sœur furent tuées, et mon père fut porté disparu. Du reste de ma maison, il ne restait qu’une épée, un tabard aillant appartenu à ma mère, et York, nôtre léopardo familial. Abattue par ce massacre, j'ai fini par découvrir une piste pouvant mener au groupe de bandits qui avaient attaqué mon village. Dès lors, je n’eu plus soif que de vengeance. J'ai suivi la piste des bandits, traversant parfois des marécages nauséabonds, parfois des forêts majestueuse vieilles comme le monde. Ainsi, guidée par la soif de sang, j'ai fini par trouver leur campement. La partie de l’histoire qui suivra me sera bien difficile à narrer, un tel massacre m’est totalement indescriptible. Tout ce que je puis vous dire, c’est que tout se passa en silence, sous le regard provocateur de la Lune. Le massacre dura toute la nuit, passant de tente en tente à une allure si rapide qu’aucun garde n’avait le temps de donné l’alerte avant de s’écroulé sur le sol, la gorge tranchée. York me suivait toujours, et finissait le travail. Au petit matin, le campement été ravagé, il ne restait plus que quelques tentes d’équipements, et la tente du chef des bandits, que je m'étais réservé pour la fin. Un Soleil rouge pointa alors, et l'aube put enfin éclore. Alors, à la lueur pourpre de ce Soleil rougeoyant, j'observais un travail que sans nul doute 100 bons guerriers n'auraient jamais sus réaliser. Me retournant vers la tente afin d'entrer et de tuer le véritable responsable du massacre de mon village, j'ordonnais à York de rester dehors et de monter la garde. Lorsque j'entrais dans la tente, laissant York à l’entrée, j'ai lâché mon épée et suis tombée genou à terre. Mon père se tenait devant moi, une cape de soie blanche tombant sur ses épaules et en tenue de cuir noire. Un blason brillait sur sa poitrine, et je n’eu pas de mal a deviné ce qu’il représenté, tant je l’avais vu cette nuit là : c’était le blason du clan des bandits ! Le chef des bandits fit un pas en avant, me pris par l’épaule et me remis debout. Sans un mot, il me fis sortir de la tente, et me présenta à mon propre massacre. York vit alors son ancien maitre et parti se réfugier dans la tente. « Ma fille, nous ne sommes pas si différents que tu puis le penser… » Sur ces mots, il m'asséna un gros coup de la garde de son épée. A mon réveil, je me trouvée dans une auberge salle, pleine de cafards. York dormait tranquillement sur le tapis, devant la porte. Au pied du lit se trouvée mon épée et mes vêtements, propres. Une lettre se trouvée là aussi. Sur le Cachet, il été écrit : « Ma fille, j’espère que tu suivras mon conseil. N’ouvre cette lettre que lorsque tu auras atteint ton but. » J'ai alors pris mes affaires et suis sortie de la chambre. J'ai découvert dans l’une de mes poches une bourse pleine de kamas. Grâce à eux, j'ai put payer l’aubergiste et m’en aller. Je n’avais plus qu’une idée en tête : retrouver mon père afin qu’il m'explique pourquoi il avait agit ainsi. je décidais donc, toujours en compagnie de York, de me diriger vers une cité nommé Astrub : La cité Mercenaire. J'avais eu l’idée d’y aller afin d’entrer en contact avec le clan mercenaire établi là-bas, et surtout, de m’y faire recruter. Car, avec l’argent que j'aurais gagné par ce moyen, et avec un éventuel soutient des amis que j'aurais put m’y faire, j'aurais peut être eu une chance de retrouver mon père. J'y rencontrais beaucoup de gens. Avant même mon entrée, alors même que je ne connaissais pas le fonctionnement de la Caravane Nephthys (c'est ainsi que l'on nomme les mercenaire d'astrub), j'ai rencontré deux personnes qui m'ont interloquées. L'une, grande, habillée de noir et de rouge, couverte d'un masque au vagues traits d'abraknydes morts, portait sur son dos de grandes ailes de bois. L'autre était plus petites, habillée de vêtements plus clairs (composés de nuances de violet). Toutes deux semblaient se connaitre, mais apparemment, pas depuis si longtemps. Au fil de la discussion, il apparut que la dame au ailes de bois était une Nephthys. Qu'elle bonne surprise ! L'autre, elle, n'était qu'une aspirante. Mais elle me paraissait bien informée ! Elle se nommée Elhea. J'ai poser beaucoup de questions, j'ai demandé beaucoup de renseignements. A la fin d'une longue après-midi dans le bosquet de l'homme-ours, la dame aux ailes de bois, Echizen, me proposais d'écrire une lettre qu'il me faudrait déposer à la demeure Nephthys pour soumettre ma candidature aux autres membres du clan. J'écris cette lettre. Avec patiente, j'ai attendu un bon moment une réponse a ma lettre. Un long moment durant lequel, je n'eu de cesse que de m'entrainer. Bientôt, j'eu une réponse. Elle était positive. Après un entretien avec certains chefs du clan, j'eu bientôt, moi aussi, de petites ailes de bois qui poussèrent, juste entre les omoplates. Au sein de la Caravane, j'ai rencontré certaines personnes, avec qui j'eu des discussions, à propos de mon passé. Bientôt, totalement libre du désir de vengeance ressenti plus tôt, je brûlais la lettre que m'avais écrite mon père, sans même l'avoir lu...
Peu de temps après, aillant gardé contacte avec Dame Echizen, celle-ci me proposa d'intégrer un cercle très fermés de nobles aventuriers. La démarche était la même que pour le clan Nephthys. Mais Echizen étant la meneuse de ce nouveau groupe, et connaissant déjà certaines de mes capacités, j'eu bientôt rejoins leur rang...
C'est avec émotion qu'aujourd'hui je peu annoncer haut et fort à qui veut bien l'entendre que je fais partie du Cercle Amla Kahn, et que jamais je ne quitterais ses rangs. J'y ai rencontrés des amis, passé beaucoup de bon moments, trouvé un mari...Bref, pour toutes ces bonnes choses, je lui fait allégeance pour toujours et jusqu'à ce que la mort m'emporte ! Reiana, Servante du Soleil rouge. |
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