Hé bien, cher membre du cercle, je me présente:
-Nom : ArgonauteColin, hérité d'un père iop saoul le jour de ma naissance
-Age : 38 Javian se sont écoulés depuis ma naissance
-Classe : Crâ
-Cercle : 94 au moment où je remet ma candidature
-Spécialisation : Je me suis tournée vers une grande force de frappe appuyée d'une grande précision [HRP]terre/CC donc[/HRP] mais mon intelligence tactique ne provoquant pas l'admiration, il se pourrait fort que je réveille ma flamme pour la flamme.
-Couleur des cheveux : Roux
-Celle des yeux : Ma pupille s'est trop dilatée à force d'utiliser les bénédiction visuelles de notre déesse de l'arc, mais je conserve un souvenir gris de mes iris.
-Etat Civil : Célibataire.
-Lieu de vie: La ville de Bonta est un havre de paix, quand je rentre de mes expéditions pour nettoyer le cimetière des morts-vivants ou, fait plus rare, quand j'accomplis de sanglants contrats pour Thomas Sacre. Cependant, quand je part à l'aventure en équipe, c'est l'auberge d'Astrub que je viens remplir.
Je ne possède pas encore de demeure fixe, et mes efforts pour en acquérir une ont récemment volés en éclats.
Je suis né d'une mère Crâ et d'un père Iop. Ce dernier brillait plus par sa beauté que par son intelligence, et je lui doit mon humour fétide, mes quelques mais abyssales défaillances tactiques et mes yeux délavés.
Ma mère m'a donné le goût de la distance de sécurité, notamment quand mon Iop de père mourut au corps à corps sur un coup stupéfiant d'un wobot. Ce couple avait longtemps résidé à Bonta avant de partir s'installer en Amakna, non loin du village.
Je suis né sous la protection de Maimane en 601, et la tradition familiale voulait que l'on reprenne le métier de son père: J'ai donc appris le métier de forgeur d'épée parmi les forgerons de Bonta. Mais mon intérêt pour les armes de ce style étant faiblard, je suis toujours un apprenti du métier. Peut-être même l'abandonnerais-je un jour.
Ma mère passant plus de temps à m'apprendre le maniement de l'arc que mon père celui de la lame, je devint, au grand regret de mon paternel, un disciple de Crâ. Iop me pardonne, je ne le comprend point. Pourquoi s'exposer quand on peut se cacher?
Mes premières expériences de ma maîtrise des flèches se déroulèrent dans les champs de Cania, où j'aidais les paysans à débusquer les maîtres bolets, puis dans les bois de Litneg, ou mes parents vinrent me sauver des trools qui me menaçaient. Aujourd'hui encore, je souhaite (résidu de ma cervelle de iop) toujours me mesurer au meilleurs pour tester mes limites. D'après ce que j'ai pu constater de l'ambiance dans le Cercle, ce vœux sera vite exaucé.
Quand nous déménageâmes en Amakna, je découvris, lors de mes expéditions solitaires, la guerre qu'avaient fuit mes parents entre Bonta et Brakmâr. Je perfectionnais petit à petit mes prières en y mêlant
Ecaflip, dont l'importance dans mes combats ne faisait que croître. Aujourd'hui, je dépends autant de lui que de Crâ, d'où ma volonté d'abandonner la force brute.
Le 23 Maisial 627, j'envisageai d'abandonner la demeure familiale pour partir à l'aventure, avec l'aval de mes parents. J'appris deux jours plus tard que mon père avait succombé en tentant d'arracher le Dofus Cawotte à son île, et je me mit alors en route pour Pandala. Je fis une halte de plusieurs mois à Astrub, devenant un habitué de l'auberge et de la forge où, la clientèle étant peu regardante, mes maigres talents suffisaient. A Pandala, je compris que mon implication dans la guerre entre Bonta et Brakmâr devenait inéluctable quand on me ferma les portes du village de Pandala feu au nez. J'en profitait pour acheter un petit bouclier, désormais rendu inutilisable par les batailles, et entrepris la route vers Bonta à travers Cania. Je m'engageais aussitôt comme milicien auprès d'Amayiro, et je restait sous les ordres pendant 4 ans. Je prenais régulièrement des vacances pour découvrir le monde: les koalaks, l'ile d'Otomaï, la paisible ville de Sufokia...
J'entendis même parler d'une ile au nord. Mais je ne tenterais pas seul l'aventure de m'y rendre.
Par la suite, je me libérais de mes obligations de miliciens, et mes compétences reconnues d'archer distant, rapide, précis et mes traits parfois mortels firent de moi un véritable tueur à gage engagé auprès de Thomas Sacre, ce que je regrette encore. Ceci me permis d'amasser une fortune personnelle remarquable [HRP]près d'un million de kamas dont je ne sait quoi faire. Je me suis proposé pour les investir dans votre futur enclos, indépendamment de mon admission dans le clan [/HRP].
C'est ainsi qu'un jour (récent), de passage en Amakna, j'appris que ma mère avait fini dignement ses jours quelques années plus tôt en formant les jeunes Crâs au maniement de l'arc, et que la maison familiale avait été rachetée une fois déserte. Je vis également une cérémonie religieuse unissant un beau féca au sourire charmeur à une disciple de Iop. Cette dernière m'intrigua car elle possédait un statut spécial, celui de mercenaire, sur lequel je me renseignais par la suite. Et quel ne fut pas ma surprise de voir apparaître cette même Iopette en face de moi dans le port de Pandala lorsque je trouvais enfin la personne désignée par Thomas Sacre !! Je ne put lever mes dagues sur elle et nous discutâmes de son métier, mercenaire. Pour une raison que j'ignore encore (peut-être pour ma clémence et pour avoir oser décevoir les Sacres), elle me proposa alors de postuler pour intégrer son clan. C'est ce que je fais aujourd'hui par [HRP]ce gros pavé^^[/HRP] cette candidature.
Mes buts sont principalement de retrouver les 6 Dofus dont j'entendis parler dans la bibliothèque de Bonta, mais aussi de pouvoir utiliser mes richesses à des fins utiles [HRP]oui c'est sérieux[/HRP] et de pouvoir enfin vivre en communauté.
[HRP]et aussi trouver une communauté RP[/HRP]
Merci de votre lecture attentive.