Tu vois mon petit Kamas... On y serra bientôt.

-Votre nom : On m'en donne plusieurs. Le vrai est antiste, l'officiel pour moi Belët...
-Votre âge : IG 75 ans, dans la vrai vie 16
-Votre classe : Ecaflip
-Votre cercle : 111
-Votre spécialisation : Terre, mais je prend grand plaisir au sort ancestral Rekop.
-La couleur de vos cheveux : Pelage Blanc. En vrai: Blond
-Celle de vos yeux :Oeil gauche Rouge, Oeil droit Bleu En vrai:Bleu
-Votre état Civil : Feu ma femme n'est plus des nôtres.
-Vivez-vous dans les contrées d'Amakna, de Brâkmar ou de Bonta? J'ère là où mon envie me mène, sans lieu prédéfini...

(Je ne serais connecté qu'à partir de jeudi/vendredi sur raval )

Synopsis
( un peu long, je préviens qu'il à été prévu pour toutes les présentations que j'aurais à faire, et surtout pour celles auprès des Nephthys, ce qui explique donc la fin.)

Me voilà, étalé sur la boue comme un mendiant... le visage péniblement éclairé par le pal éclat du croissant de lune. Et maintenant, la pluie... Il ne manquait plus que ça. J’avais tout... La richesse, le respect, une femme, bientôt un enfant... Il ma tout ôté. Ce sale pachyderme baveux ! Il ma tout ôté...

« C’était ton amis »

-C’était... C’était.

Je revois encore la scène... Le plancher pourrit par le sang... Lui ricanant de son maléfique dessein dans l’ombre... La façon dont il ma humilié...
Je serra mon poing ensanglanté et me teins à genoux, le regard vide.

-L’humanité n’est qu’un misérable trou moisi où grouille la vermine... Une vermine divisée en deux camps... Brakmar et Bonta...

Je jeta un coup d’œil à mon sabre, puis à mes ridicules ailes.
Et d’un coup, elles furent étalées dans la boue.

Un Hurlement perça la pénombre par cette nuit pluvieuse.

-Non... Non...
Ma tête me tourna, un gout aigre emplît ma bouche... Je m’évanouis sous le poids de la douleur.
Et je revis ma vie, telle qu’elle fut avant... Joyeuse peut être pas tout de suite... Mais presque paisible... Oui. Presque Paisible.

~ ~

C’était la devise : de père en fils...


De toute ma famille, on ne connait aucun membre masculin y ayant survécu : Père, Glouton, Oncle Alfred, Grand père Nogould, même mon arrière grand père fut « enrôlé » dans cette vie morne et pénible.

Mon père est l’actuel propriétaire de la plus prestigieuse boulangerie d’Amakna, son petit « bijou familial » comme il l’appelle était réputé pour la douceur de ses brioches le matin et le croustillant de ses pains la journée. On peut dire qu’il faisait partit de la fine fleur des boulangers : tout le gratin de Bonta faisait le long et fastidieux voyage à dos de dragodinde pour la finesse de sa main et la mie tendre et aérienne qui donnait à son « Pain D’ange » sa prestigieuse réputation.
Moi, je n’ai jamais eu son talent ni sa main experte, mon pain était dur et sec, tout juste bon pour les porkass. Mon père eut beau désespérer, prier le dieu Ecaflip de partager son talent, hurlant qu’il en avait bien assez pour deux, consulter des diseuses de bonnes aventures : Rien ni fit. C’est pourquoi, je me désintéressai vite de la tradition familiale, me disant que je la laisserais à qui le voudra. A l’époque, du haut de mes dix-sept printemps, je ne comprenais guère les conséquences que ces paroles auraient plus tard. Et dieux sait que ce fut éprouvant pour bien des gens.

« FOU MOI L’CAMPS ! BON A RIEN DE FILS !!! » Tonna Benedoc, en me claquant la porte au nez.
J’enfonçai les battants de celle-ci d’un grand coup de poing en couvrant mon père d’insultes jusqu’à m’époumoner, après quoi, je me dirigeais vers la milice d’un pas vif, l’esprit irrité à l’impossible. C’était ainsi depuis qu’il savait. Depuis que l’eau du ruisseau me fait rêver d’aventure sur un magnifique voilier, depuis que les lézards grouillant à l’ombre durant les lourdes saisons d’été me donnent envie de brandir un glaive en criant « Sus au dragon ! ». Et depuis que draguer de mignonnes Sadidettes sous le nez de leur gros abrutit d’Iop me parait plus intéressant qu’une Jeune Xélorette en mal d’amour. C’était ainsi, mon âme battait au rythme des dilemmes et des duels les plus risqués alors que celle de mon père préférait le croustillant et la chaleur du pain.
Je longea le fleuve « Tête de pique », inspirant l’air douceâtre des fertilisants utilisés par les fermiers dans la culture de leurs champs. M’arrêtant deux trois fois pour observer le paysage quand l’envie me prenait. Par delà le pont qui permettait l’accès à la route dite des « Anges » on pouvait apercevoir le contour des sombres bosquets du Bois de Litneg, connu pour l’agressivité des Trools et autres créatures y vivant. Et ainsi s’imaginer, noble aventurier en quête de duels toujours plus périlleux à relever et bien sur, à remporter. En tournant la tête, on faisait face à l’immense étendue des champs de Bonta, les douces odeurs de céréales et le pollen flottant légèrement dans les airs en petites taches blanches, jaunes, et vertes. J’humais avec plénitude la douceur de cette brise, lorsqu’une voie bourrue, mais amicale troubla le silence.
« BELËT ! »
« Salut Borst, ça va ? » Répondis-je calmement.

Vu la tête qu’il tira, et avec le recul, je pense eu que ma question eut sur lui le même effet qu’une cape rouge fait à un Minotor

« NON CA VA PAS ! CA FAIT TROIS HEURES QUE JE FOUILLE TOUS LES CHAMPS DES ENVIRONS POUR TE TROUVER ! » Me hurla-t-il.

Je me retourna paisiblement, un brin de paille calé dans au coin des babines, presque lassé de la sollicitude dont la milice faisait part à son égard. Je ne fus jamais un membre très actif de la milice préférant de loin vagabonder par delà les terres à la rencontre de ce qui voudra bien se produire. Je fus sur le point d’annoncer mon refus quelle que soit la tache que l’ont mon confierait lorsque je remarqua la hauteur de Borst lorsqu’il se tenait droit, du moins à côté de moi. Il me lança l’un de ses regards qui veut dire : « Je ne pense pas que tu ais le choix » Je soupirai alors, et attendit qu’il parle. Il me jaugea, parut songeur un instant, puis me sortit d’un trait :

« Les remparts ont étés fortement endommagés pendant ton absence. Selon l’un de mes éclaireurs, il s’agirait de plusieurs vingtaines de créatures des bois de Litneg qui nous ont assaillît depuis plus de six heures. » Il inspira une grande bouffée d’air et continua : «Tu n’te rends pas compte du temps qui passe lorsque tu te balade ici. Je te connais tu sais, on à beau ne pas être issus du même milieu, je te comprends, et crois moi, tant que ces foutus Trools N’arrêteront pas de nous harceler, tu ferais mieux de les éviter. Pour ton bien comme pour celui de Bonta. »

« Si tu me comprend, tu sais très bien que si je ne viens pas ici, il y aurait double homicide dans la famille : Mon père et moi.» J’essuya une poussière qui se tenait sur mon œil, et termina : « Je m’en occupe... »
Je soupirai une dernière fois, m’étira et me mit au trot en direction des bois de Litneg.

« C’est pas une vie... »

~ ~
Une fiente de tofu me tira du sommeil.
Il faisait nuit... Encore ?
Je regardai la lune... Elle était pleine... Combien de temps ai-je dormis ?
Le rêve était tellement mieux... Si seulement je pouvais y retourner... Dans les champs proches de la rivière « Tête de pique ».
Je cherchai à tâtons ma besace... Elle n’était plus là... La vermine me l’avait dérobée, encore une fois...
« Je pleure ? » Et oui... Je me surpris à pleurer, plus jamais ; ce sera la dernière fois.
Un éclat de lumière devant moi me tira de ma torpeur. A demi caché entre une feuille recouverte de boue et une touffe d’herbe, se tenait un unique Kamas, tout brillant, sans aucune tache, presque un affront pour le lieu... Je l’admirai un moment, puis le saisi avec délicatesse et attention entre mes deux mains. Au milieu de ma paume, il semblait me chuchoter quelque chose. Je le tendis à mon oreille, et ses paroles me plurent.

« Tu ne me trahira pas toi... N’est ce pas ? Mon tout petit ami... »

Je remarqua alors le bâtiment devant lequel je me tenais... Des mercenaires.
« Je te fais confiance... Cher ami »
Je me leva péniblement, gravis les marches avec tout autant de peine et atteignis la porte.
Toc Toc Toc...


Aurum Protesta Est

[HRP]
Antiste, pour l'instant tu n'es pas chez les mercenaires ... mais tu intègres une guilde rp ^^"
T'avais compris ou pas?
*craint un coup de marteau sur la tête*
On va dire que c'est une lettre ta candid heiin !
[/HRP]

Anonymousse lu, elle appris des choses. Elle ne savait pas que son vrai nom était Belët... Mais qu'importe, elle continuera certainement à l'appeller Antiste, comme ... avant ...
Cela faisait si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu ... Avant d'écrire son vote elle se souvint quand ils étaient dans la même guilde ... avant ...
Tout change ... Et maintenant, voilà qu'il va peut-être être dans la même guilde ...
Après avoir réfléchie, et mis son cerveau en surchauffe, elle apposa , et c'était évident, un Pour .
Car oui c'est un ami, mais il le mérite, c'est clair.

[HRP] T'es toujours dans Playboy's? (ou alors ils t'on p'tet kické x)) Bref ... [/HRP]

[HRP] Bah ouai je suis au courant : "Synopsis
( un peu long, je préviens qu'il à été prévu pour toutes les présentations que j'aurais à faire, et surtout pour celles auprès des Nephthys, ce qui explique donc la fin.)"
Bah non j'suis plus dans play boy. Content du premier pour!
Flanque un titanesque coup de marteau à anonymousse [/HRP]

[HRP]
Tu vas morfler X_X
T'es plus dans playboy's ... han ...
Héhé, un petit pour pour une grande victoire x)
[/HRP]

Kalar se dirigea vers le bureau sur lequel était déposé la candidature dont Ano' lui avait parlé.
Il saisit la missive et s'installa dans le grand fauteuil en cuir de bouftou royal.
Il lut.
L'histoire était plaisante et arracha presque une larme au Iop, cependant quelque chose l'embettait: ce disciple d'Ecaflip semblait, comme beaucoup d'aventuriers, croire impossible le fait que les disciples Iop puissent avoir un coeur, une ame, ou du moins de l'esprit. "Gros abrutit d'Iop" avait-il écrit, en bien c'est ce que nous verrons..." Pensa Kalar.

Il saisit sa fidèle plume de Serpiplume, celle qui avait gratté tant de parchemin entre ses doigts, et inscrivit:

"J'adresse un pour a cette candidature, il manque pas d'air celui là! Ce n'est que pour lui faire changer d'opinion sur les disciples de ma divinité que je souhaite le voir rejoindre nos rangs!"

Puis il reposa l'encrier sur le bureau, rangea sa plume, se rassit dans le fauteuil et alluma un pipe qu'il avait au préallable bourrée de chanvre euphorique. Il resta là à fumer pendant une petite heure avant de partir passer sa soirée à la taverne, comme à son habitude...

[HRP] J'aime bien ton histoire, et ton écriture est agréable, à part ta réflexion sur les Iop, je suis conquit [HRP]

- Pfeuuuuuuuuuuuuuuu un chat, dans notre cercle, ah ça jamaissssss, oh non jamais ! Le pire c'est que sa candidature est bonne, pfeu un chat, un chat.

Dark-Symphony crache par terre, saisi le parchemin et y appose un POUR.


-Toi le chat, on va pas s'entendre, pfeu bouffeur de souris !



[HRP : Bonne candidature, si t'es pris dans la guilde, attention à symphony elle déteste les chats, comme tu as du le comprendre]

[HRP]

Pourtant Symphony, aux vues de ton avatar ou pourrait croire que les cha(cha)ts ne te dérangent pas tant que ca... Aurais tu une "dent" (de sabre???) contre les Eca??? xD

[HRP]

Revenant de la taverne où il s'étais fait exclure pour cause d'aggressivitée verbale , Master alla voir les nouvelles candidatures
Il lut celle-ci et ecrivit en bas de la feuille

Citation :

Héhé , un chachaton , ça manque justement de poil dans la guilde...
Bon allez...

et il écrivit un POUR au bas de la feuille ...

"Dark-Symphony crache par terre, saisi le parchemin et y appose un POUR."
Je saurais frapper au moment voulu, merci tout de même pour ce POUR...

[HRP]4 Pour, ça fait plaisir [HRP/]


[HRP]
Edit Ano: Tu ne peux pas dire ça en RP, à moins que tu sois là lors de la scène mais bon, je pense pas xP
[/HRP]

[HRP : Bah justement c'est pour ça l'avatar :p sysy n'aime pas les écas, et ne fait pas de contrat pour eux sauf si la somme est juteuse :p]

[HRP: Mon mari c'est un éca x_x j'te le présenterais pas je crois. ]

La meneuse a dit POUR

Et elle n'est pas la seule!

Je pense que l'on peut d'ores et déjà annoncer au candidat la bonne nouvelle.

[HRP]
Si Echi est d'accord, no prob.
[HRP]

Tu as le droit de recrutement Mousse à ce que je sache...

Anonymousse, alors qu'en plein donjon Blop, envoya son Corbac Noir pour prévenir Belët-Antiste.

Citation :

Tu es accepté, mais ne crois pas que parce que t'es mon ami tu vas pas souffrir un peu !
Non je taquine hein, mais attention, on est pas toujours des rigolos nous !
T'as encore une semaine pour convaincre à fond .
Allez, Bienvenue le Minou.

Anonymousse - Maître de Guilde / Bras Droit.

Elle était en combat contre le terrible, mais faible, Blop Coco Royal. Elle laissa le Corbac seul, volant vers ... Astrub?