Cercle Amla-Kahn
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Sah. We are DreamMakers.

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Sah
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Age : 29
Sah
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Fiche sur le personnage
Disciple de: Osamodas
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MessageSujet: Sah. We are DreamMakers. Sah. We are DreamMakers. Icon_minitimeMer 4 Aoû - 23:12

-Votre nom : Sah
-Votre âge : 16 ans
-Votre classe : Disciple d’Osamodas
-Votre cercle : 37 au moment où cette lettre a été postée
-Votre spécialisation : Invocations
-La couleur de vos cheveux : Blancs comme neige
-Celle de vos yeux : Brun
-Votre état Civil : I’m a poor lonesome cowboy
-Vivez-vous dans les contrées d’Amakna, de Brâkmar ou de Bonta ? : Entre Bonta et Astrub

Moi et moi seul connaît l’existence de ce compte.



Avec cette lettre était joint un livre, une sorte de recueil ou de journal. Sur la première de couverture bleu foncé, on pouvait simplement voir le signe bleu clair de la Déesse Osamodas. Sur la page de garde étaient écrits ces quelques mots :
« Mon fils, voilà le journal de notre famille. Il se passe de génération en génération et chaque détenteur de ce manuscrit y rédige ses mémoires, sa vie ainsi que ses expériences personnelles. Tu y trouveras les récits de tes ancêtres qui pourront t’aider lors des diverses difficultés que tu rencontreras au cours de ton existence. Il en advient de même pour toi, qui doit retranscrire le savoir que tu auras acquis pour tes enfants et leurs enfants. Je te souhaite bonne chance, je t’aime. »
Ainsi qu’écrit dans une couleur rouge foncé suivi d’une tache de la même couleur :
« Tes ancêtres sont partis remplir ma bibliothèque ! »

On remarque bien que de nombreuses pages ont été arrachées dans la suite de l’ouvrage. Seules quelques rédigées après que les précédentes ont été retirées sont encore présentes. C’est là que nous commençons notre histoire.


23 Flovor 634 : Naissance et mort

Bonjour, vous qui lisez ce journal. Celui-ci devrait débuter dès le moment où son détenteur a appris à écrire mais malheureusement, il n’est arrivé qu’hier en ma possession suite à des gros imprévus. Ça va être long, laissez- moi vous expliquer depuis le début.

Je me nomme Sah et je suis un disciple de la Déesse Osamodas. Je suis né le 16 Octolliard 624 sur une région glacée du monde des 12, parsemée de montagnes, que l’on nomme Frigost. Avant peu, cette île était connue par ses seuls résidants, c’est-à-dire les créatures qui la peuplaient, et nous, lignée de Setsugaï, grand maître des Invocations, pourfendeur du Dragon des Neiges Eternelles, auteur du best-seller Comment élever son tofu en milieu aride ?, et bien d’autres titres que je n’ai ni le temps, ni la patience de vous révéler. Nous étions en quelques sortes les gardiens de cette île (désignés par qui ? nous n’en avons aucun souvenir). Nous vivions notre petit train de vie tranquille, les enfants jouant tantôt avec les bonshommes de neige du coin, tantôt en s’habillant de blanc de la tête aux pieds pour jouer à cache-cache (il va s’en dire que certains n’ont jamais été retrouvés). Mon père, Sad’hik, aimait beaucoup la boisson et avait pour réputation de se mettre à pleurer lorsqu’il était saoul. C’est pourquoi, devant les moqueries incessantes de ses amis, il affectionnait tout particulièrement la chasse de Chef de guerre Boufmouth. Cela lui a d’ailleurs valu une cicatrice partant du haut du crâne jusqu’au milieu de la joue. La petite histoire raconte qu’il aurait glissé sur une plaque de verglas et se serait entaillé avec sa lance, mais lui se plaisait à dire qu’il avait survécu à un combat enragé face à un Boufmouth particulièrement retors. Ma mère enseignait à l’école du coin, elle se nommait Osage.
Tout allait bien jusqu’à « l’incident ». Je ne me souviens pas de la date exacte, j’avais alors 3 ans, mais ce qui s’est passé ce jour est toujours ancré profondément dans ma mémoire. Des hommes ont débarqué sur l’île. Je n’avais jamais vu d’autre disciple que ceux d’Osamodas mais ceux qui étaient arrivé étaient tous plus différents les uns que les autres. Sans aucune raison valable, ils ont attaqué les créatures de l’île. Les gens de ma tribu n’ont d’abord pas su que faire, puis il a été décidé que nous devions faire face à ces individus. Ce fut une hécatombe. Malgré nos techniques d’invocation, nos ennemis restaient beaucoup plus nombreux que nous et ils étaient nettement plus puissants. Lorsqu’il est devenu évident que le combat virait au massacre pour ceux de ma race, ma mère m’emmena loin de cette violence et me cacha dans une grotte, une ancienne tanière de renard, avec ordre de ne pas bouger. J’ai attendu, j’ai beaucoup pleuré. J’avais peur. Après plusieurs heures, ne voyant aucun signe du retour de ma génitrice, je me suis décidé à jeter un œil à l’extérieur. Je suis donc retourné sur le lieu des combats. Des corps mutilés s’entassaient çà et là. Aucun signe de vie. Nos assaillants étaient partis. Je suis resté de longues minutes à déambuler parmi les corps, appelant à l’aide et criant le nom de mes parents. Puis je les ai découverts, pendus à un flanc de montagne. Aucun son n’est sorti de ma bouche, juste une impression de vide à l’intérieur de moi-même. Puis une haine viscérale s’installa.


24 Flovor 634 : L’entraînement

Je reprends mon récit là où il s’était arrêté. C’est dur pour moi de revivre ces moments, mais il le faut pourtant. C’est nécessaire.

Je suis resté longtemps à pleurer dans le froid, mes larmes congelées ne coulant plus sur mon visage, mes mains bleuies par le vent glacial qui soufflait. À ce moment-là, j’ai eu une pensée étrange pour un enfant de 3 ans. J’ai songé à me laisser mourir. Je me suis couché dans la neige et j’ai commencé à attendre que la faucheuse vienne me prendre. Lorsque j’avais commencé à sentir mes membres se transir, un chant s’était élevé dans la plaine. Intrigué, je me suis relevé et j’ai cherché sa source. Une silhouette m’est alors apparue. Je ne saurais jamais qui était-ce, mais je l’ai suivi à travers la tempête qui avait commencé à souffler quelques minutes plus tôt et cela m’a conduit devant une sorte de fissure dans un pan de roc. L’intérieur était obscur et une odeur de renfermé y régnait. Je me suis tout de même avancé, je n’avais plus grand chose à perdre. Arrivé au fond de la grotte, j’ai remarqué qu’elle était aménagée pour que quelqu’un puisse y vivre. Une voix s’éleva alors derrière moi :

« Qui es tu et que fais-tu ici, étranger ? »
Je me suis retourné avec toute la vivacité et les réflexes que peuvent permettre un corps de 3 ans. Un homme se tenait devant moi, une longue barbe pendante jusqu’aux genoux, des habits miteux, une allure sale. Mais il avait l’œil vif et ses muscles reflétaient encore une certaine fougue. Il paraissait sage :
« C’est une lumière qui m’a amené ici, répondis-je.
- Alors tu es le seul survivant. »
Cette phrase n’attendait pas de réponse, et elle ne me choqua pas. Je m’étais fait une raison. Il partit alors au fond de son antre et me fit signe de le suivre. Nous sommes arrivés dans une petite cuisine qui comportait seulement une table et deux chaises. Il m’en tendit une :
« Tu es le dernier représentant de ta race. Tu dois les venger, punir leurs assassins. Mais tu n’as pas reçu l’éducation et l’enseignement nécessaires pour y parvenir. C’est donc moi qui vais m’en charger. À partir d’aujourd’hui, tu me suivras partout où j’irais, tu feras ce que je te diras et tu ne me désobéira en aucun cas c’est clair ? »
Je n’avais d’autres choix que d’acquiescer. Cet homme pouvait m’aider et il était la seule personne encore vivante sur cette île. Et il semblait que la silhouette que j’avais suivie voulait que je m’entraîne avec ce vieillard :
« Bien. Désormais tu dormiras au pied de mon lit. On commence demain. Sois prêt. »
Ainsi commença mon apprentissage. J’en appris plus sur mon professeur au cours des années qui suivirent. Il se nommait Dans’urlhepont d’Avignon et il venait de Pandala. Il se trouvait sur l’île depuis de nombreuses années (il fit l’impasse sur son âge, mais je pense qu’il n’avait pas un âge du commun des mortels). Ce n’était pas un disciple des Douze, mais il connaissait bon nombre de leurs techniques de combat. Il me rendit plus fort, plus résistant, m’appris comment invoquer plusieurs créatures en même temps. Parfois, on devait survivre par -50° pendant plusieurs jours, seulement vêtus d’une tunique en lin, ou bien gravir une montagne à la seule force des bras. Tout cela jusqu’à ce que je sois prêt, à l’âge de 9 ans.

25 Flovor 634 : Le départ

Il était temps pour moi de suivre ma voie. Le 8 Maisia 632, Dans ne me réveilla pas en même temps que lui comme il en avait l’habitude. Quelle ne fut pas ma surprise quand je me rendis compte que j’étais seul en me levant ! Lorsque j’arrivais dans la cuisine, Je tombais encore plus des nues : il avait même préparé le petit-déjeuner. Je m’assis en face de lui et il me fixa dans les yeux :
« Il est temps de partir, me dit-il d’une voix grave.
- On s’en va où ? répondis-je, intrigué.
- Pas on. Tu pars. Il est temps pour toi de faire ce pour quoi tu as été amené ici. Te venger. »
Je n’ai pu réagir. Je le regardais, bouche bée, sans dire un mot. Il se leva et partit dans sa chambre. Quand il revint, il tenait un baluchon contenant le peu de mes affaires. Il me le tendit et m’accompagna jusqu’à la porte. Il faisait beau dehors, un grand soleil luisait, pas un nuage à l’horizon. :
« Marche tout droit vers le Sud, tu y trouveras un bateau qui te mènera au continent. Retrouve ceux qui ont tué ton peuple. Traque les et élimine les. Et récupère ce qu’ils t’ont volé. »
Sur ce il se retourna sans un mot. Avant de moi-même commencer mon périple, j’ai eu le temps de voir une larme tomber dans la neige. Je fus étonné et ému que cet homme puisse ressentir de la tristesse à mon égard.
J’ai donc marché plusieurs jours vers le Sud, comme indiqué. J’y ai trouvé le bateau et, sans un mot, j’ai payé la traversé avec la bourse que m’avait remise Dans et je suis monté à bord. Ce fut un voyage sans problèmes. Après 2 jours de navigation, nous sommes arrivés en vue de la côte. J’allais débarquer sur le continent que, jusqu’à maintenant, je croyais inexistant. J’allais découvrir tant de choses, tant de personnes et de mœurs. Mais avant de visiter, je devais accomplir ma « quête ». Je brûlais d’envie d’en découdre avec ceux qui m’avaient retiré mes parents et arraché à une vie paisible, loin de toute cette violence. Débarqué sur cette nouvelle terre que je foulais du pied, une chose me frappa plus que tout autre : le monde. Il y avait plus de personnes réunies en ce lieu que toutes celles que j’avais pu croiser dans ma vie jusqu’ici. Des personnes de tous horizons, toutes cultures, toutes couleurs. Mais aussi des odeurs inconnues, des fumets de viande rôties, d’alcools et de boissons exotiques. Des étoffes de couleurs éclatantes et variées, pour moi qui était né dans un endroit où le blanc régnait en maître. Des animaux étranges se baladaient un peu partout, tantôt suivant quelqu’un comme un esclave, tantôt déambulant librement sans aucune peur. Les constructions étaient également impressionnantes. De hauts bâtiments de pierre brut, gris et sans chaleur. Le bruit environnant était assourdissant. Des cris fusaient de toutes parts, pour appeler les voyageurs à admirer tel et tel produit local ou venu de contrées dangereuses et reculées. Un panneau attira surtout mon attention. Il était écrit en lettres capitales :

NOURRITURE PAS CHERE !
Mon ventre ne se le fit pas dire deux fois. Il se mit à gargouiller avec entrain et je ne pu donc résister à l’appel de la faim. Je suis entré dans l’auberge, me suis assis à une table et ai commandé un repas chaud. Je ne sais si c’est la providence qui m’a envoyé ici ou si c’est seulement une chance inouïe, mais quelques minutes après, j’ai capté les bribes d’une conversation forte intéressante :
« Demain, t’dvineras jamais chez qui j’ai réussi à nous choper une invite, disait un homme avec un accent horrible à son ami assis en face de lui, dont le visage était tout aussi horrible que son propre accent.
- Zy va, dis- moi, répondis l’horrible.
- Les Flibustiers !
- Les premiers à être allé sur cette mozeur feukeur d’île de Frigost ?!
- Ceux là même ! Il paraît qu’ils ont piqué pas mal de trucs à ceux qu’ils ont butés là-bas. Y aura moyen de négo quelques babioles à revendre au prix fort. »
Bien que certains mots m’étaient incompréhensibles, je saisis le sens de la conversation. Ces hommes savaient où se trouvaient ceux que je recherchaient ! Je n’étais pas sur le continent depuis plus de deux heures, et voilà que ma vengeance semblait déjà sur le point d’être assouvie ! Incroyable ! J’ai donc suivi ces hommes chez eux lorsqu’ils ont quitté la taverne et je me suis posté non loin, la porte en vue, pour être sur de ne pas les manquer le lendemain.

27 Flovor 634 : Vengeance

Je n’ai pu écrire hier, un ami a eu besoin de mes services et cela m’a pris toute la journée. Je reprends.

Lorsque je me suis réveillé, le soleil était déjà haut dans le ciel. Bon Dieu ! Pourvu qu’ils ne soient pas partis sinon ma piste était fichue. Heureusement, et je ne sais encore si c’est le destin où autre, mais c’est à ce moment-là qu’ils sortirent de leur demeure. Je n’ai eu qu’à les suivre à la trace, ce qui n’était pas difficile. Ils me conduisirent devant une grande villa, dans laquelle ils pénétrèrent. Je regardais autour de moi, guettant un signe de vie, mais je me trouvais dans un quartier résidentielle et riche de surcroît, la rue était donc peu fréquentée. J’ai escaladé le mur et me suis caché tout de suite après m’être retrouvé de l’autre côté. Je me suis approché de la fenêtre la plus proche. Bingo ! Les deux compères étaient là, entourés de nombreux autres malfrats. Aucun visage ne m’étaient familiers, mais cela remontait à plus de 7 ans, il est donc normal que je ne me souvienne de rien. Ils se tenaient debout autour d’une grande table sur laquelle se trouvaient beaucoup d’objets. Ce coup-ci, bon nombre me disaient quelque chose. Il y avait le carnet dans lequel ma mère écrivait souvent, et qui devait me revenir le jour où elle mourrait, selon elle. Une fureur noire m’envahit. Je ne réfléchis pas. J’invoquais le plus de créatures que j’en était capable, empoignais mon marteau et défonçais la porte d’entrée situait un peu plus loin à grand coup de pied. Tofus, Bouftous et Prespics se jetèrent dans la mêlée. Je ne savais plus ce que je faisais. Je frappai tout ce qui bougeait. Plusieurs membres (crânes, bras, jambes …) se brisèrent sous mon arme. L’effet de surprise avait marché. Les hommes présents dans la pièce n’eurent pas le temps de réagir. Ceux qui tentèrent de fuir étaient vite rattrapés et achevés par mes invocations. Quand enfin il n’en resta plus qu’un, j’ai fait disparaître mes bêtes. Je me suis approché de lui, marteau au poing, mes habits couverts de sang, et je pense une lueur de folie dans le regard. Il implora ma pitié, puis, voyant que je ne comptais pas la lui donner, sorti un poignard de sa botte et se jeta sur moi. Rapidement, je me suis effacé et il est tombé sur le ventre. Je l’ai retourné, pris son arme et avec une voix que je ne me reconnue pas moi-même, je lui ai dit :

« Pour mes parents et tous les autres. »
Je lui ai alors craché au visage et j’ai plongé la lame dans son cœur. Je l’ai regardé agoniser. J’ai ensuite récupéré le journal de ma mère, mis le feu à la maison, et suis parti sans demander mon reste. J’appris plus tard que ces hommes faisaient partis de la milice de Brâkmar et que leurs compagnons me poursuivaient. J’ai donc rejoint la milice de Bonta, pour me protéger et pouvoir être en droit de combattre contre ces démons. Je suis encore recherché aujourd’hui, mais ils ne me font plus peur et je les attend de pied ferme. Ma vengeance était terminée.

2 Fraouctor 640 : Une grande décision

Voilà près de 6 ans que je n’ai pas écrit. J’ai passé ce temps à voyager et à apprendre tout de ce monde dans lequel je vis aujourd’hui. Je me suis aguerri, et j’ai vu beaucoup de chose. J’ai monté ma propre confrérie des disciples d’Osamodas, car ils me rappelaient ma tribu, et il était bon de se trouver parmi eux. Mais quelque chose a changé il y a quelques jours et j’ai pris une décision.

Alors que je me baladait dans la cité d’Astrub, terrain neutre à la guerre incessante que se menait Bonta et Brâkmar, j’ai aperçu un jeune homme qui se faisait agresser par plusieurs autres aventuriers, et personnes autour ne faisaient rien. J’ai donc appelé mes créatures et j’ai volé à son secours. Après une bonne correction, les assaillants sont partis en courant. Ce n’était pas la première attaque de ce genre à laquelle j’assistais, mais c’était celle de trop. Cela me révoltait que des gens puissent s’en prendre à un voyageur solitaire tout ça pour un plaisir personnel de violence gratuite. Cela en plus du nombre croissant de personnes qui ne savaient plus s’exprimer et parler correctement, insultant les autres aux moindres faits et gestes. Le monde devait changer. Et je voulais y participer. Je suis donc entré en contact avec une personne nommée Ii-Echizen pour lui faire part de mes motivations. Elle m’a également présenté Perturabo avec qui j’ai longuement discuté. J’ai pu obtenir une entrevue avec Symphonia, un peu courte mais non moins fructueuse. Ces personnes m’ont beaucoup plus et ont su se montrer compréhensives. Je voudrais changer le monde avec eux.
C’est ainsi que j’ai connu le Cercle Amla-Kahn.


Le lendemain, le jeune Sah se rendit à la maison du Cercle, entra dans le bureau de recrutement et y déposa la lettre de présentation et son journal en s’écriant :

« Je dépose ma candidature ! »



Cordialement. Sah, Créateur de rêves.
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Symphonia
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MessageSujet: Re: Sah. We are DreamMakers. Sah. We are DreamMakers. Icon_minitimeMer 4 Aoû - 23:55

Symphonia, faisant une pause dans son harem de dragodinde, saisi une candidature. Elle y jeta un œil et se souvint de son rédacteur, une personne courtoise, certes mystérieuse, mais une recrue potente.
Sans plus attendre, elle déposa un POUR.

- Vous me semblez être une personne méritante, qui aurait sa place dans le cercle. Vous avez mon appuis.


[Juste une chose, l'anglais dans le rp c'est à éviter, si non candidature plus que satisfaisante, un style bien nuancé, la syntaxe est bonne rien à dire]
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Echizen
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MessageSujet: Re: Sah. We are DreamMakers. Sah. We are DreamMakers. Icon_minitimeJeu 5 Aoû - 7:20

Eh bien, la voilà enfin cette candidature ! Il y a beaucoup à lire mais j'irai droit à l'essentiel !

POUR
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Alika
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MessageSujet: Re: Sah. We are DreamMakers. Sah. We are DreamMakers. Icon_minitimeJeu 5 Aoû - 12:47

POUR , rien a ajouter.
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Shizuka-Fuyumi
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MessageSujet: Re: Sah. We are DreamMakers. Sah. We are DreamMakers. Icon_minitimeJeu 5 Aoû - 21:40

Fuyumi était perdue dans ses pensées.

"Tiens, lui aussi est arrivé dans le monde en découvrant tout... Il était juste un peu jeune. Je me demande si, lui aussi, il est doté d'aptitudes étranges avec la glace... Dans tous les cas, je l'aiderai. Même si ce jeune garçon m'a l'air prometteur, je trouve ça dommage qu'il ait choisi la voie de la Mort comme Monsieur Perturabo... Mais ça ne compte pas. Il mérite quand même que l'on lui tende la main."

Suite à ça elle apposa un POUR sur la candidature du jeune aventurier des glaces.
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Symphonia
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Symphonia
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MessageSujet: Re: Sah. We are DreamMakers. Sah. We are DreamMakers. Icon_minitimeSam 7 Aoû - 19:36

Candidature Acceptée
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MessageSujet: Re: Sah. We are DreamMakers. Sah. We are DreamMakers. Icon_minitime

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